
Les visas en Crimée seront délivrés aux étrangers par les règles simplifiées
La procédure de l'obtention d'un visa pour voyager en Crimée sera simplifiée aux étrangers, a dit le vice-premier ministre de la Russie des affaires de la Crimée Andrei Sokolov. Toutefois, les experts estiment que la mesure d'attirer les touristes étrangers en Crimée se justifiera pas de sitôt, car en ce moment les étrangers ne s'intéressent pas de voyager dans la région.
Dès le 1 janvier 2015 le régime de la zone libre économique a commencé à agir en Crimée et à Sébastopol. La nouvelle loi prévoit déjà la simplification du régime de visa pour les investisseurs, les hommes d'affaires et les représentants des organisations. Maintenant il s'agit de la simplification du régime de visa y compris pour les touristes. En outre les autorités de la péninsule envisagent de s'adresser aux autorités fédérales avec la demande de la possibilité de délivrer les visas aux visiteurs étrangers gratuitement.
Selon les représentants de la branche touristique de la Crimée il est mieux d'organiser la procédure de la présentation simplifiée de visa directement à l'aéroport de Simféropol. Cela permettra de couvrir les étrangers arrivant par les vols intérieurs et par les vols charter. On a déjà dirigé les propositions au sujet de la procédure de la simplification du régime de visa au comité du conseil d'Etat et au gouvernement de la Crimée.
Andrei Sokolov a noté : « Selon les requêtes préalables sur les groupes touristiques le visa peut être délivré aux citoyens à l'arrivée à l'aéroport de Simféropol ou dans les ports. Cette norme est déjà réservée dans la loi au sujet de la zone libre économique ».
L'an passé le gouvernement russe a commencé à travailler sur la simplification du régime de visa pour les étrangers voyageant par les vols de transit. Selon les nouvelles règles, les voyageurs étrangers de transit pourraient rester en Russie sans visa 72 heures. Cependant, en mai de cette année, le travail sur le projet de loi a été arrêté pour une durée indéterminée en raison de la situation ambiguë de la politique étrangère.