
Alexandre Iakovenko : Les relations de la Russie et la Grande-Bretagne ont commencé à s'améliorer
La Grande-Bretagne n'est pas prête à conclure à l'exemple de l'Europe continentale avec la Russie l'accord à grande échelle sur l'allégement du régime de visa, – l'ambassadeur de la Russie en le Royaume Uni Alexandre Iakovenko a communiqué dans l'interview à l'agence de l'ITAR-TASS.
L'ambassadeur a noté, la Russie a obtenu de bons résultats dans la simplification du régime de visa avec les pays de l'union Européenne. En particulier, on a déjà concordé entièrement le document anticipant l'accord sur l'introduction du régime sans visa, soi-disant « Liste des pas communs ».
Cependant la Grande-Bretagne qui n'est pas la participante de cet accord, opère à son tour des réformes rigides d'immigration en ce qui concerne les citoyens des pays qui ne sont pas dans la zone économique d'Europe et dans ce contexte la Russie va parmi « d'autres » pays.
L'ambassadeur a communiqué que pendant la consultation en matière de suppression du régime de visa « il était déclaré que le dialogue peut aller seulement au sujet de l'accélération de la présentation des visas pour la catégorie des personnes assez bornée – pour les hommes d'affaires avec « excellente histoire de visa ». Si tout ira bien, ils nous disent, la pratique semblable peut être répandue dans le futur et pour d'autres catégories des citoyens russes, répondant aux standards britanniques de la « respectabilité ». Une telle relation, Iakovenko a souligné freine fortement le développement des relations humanitaires et des relations d'affaires entre deux pays, bien que dans l'ensemble les sphères de la coopération s'élargissent seulement.
L'ambassadeur a déclaré : « la Russie est ouverte pour le dialogue complet de visa avec le Royaume Uni. Le ballon est sur le côté de nos collègues britanniques ».
Dans l'entier, Iakovenko a noté que le vecteur du développement des relations russes-britanniques s'est amélioré. Seulement ces derniers temps toute une série des délégations russes a visité Londres : les Ministères de l'Intérieur de la Russie à la tête avec le premier vice-ministre Alexandre Gorovoj, la délégation du Comité de la législation constitutionnelle du Conseil de fédération à la tête avec son président Alexeï Aleksandrov. La confiance mutuelle des administrations de deux pays se rétablit tout doucement, au moins cela prendra le temps considérable.
L'économie reste comme toujours la base de complexe des relations russes-britanniques : le volume du commerce diminué à cause de la crise économique en 2009, était pratiquement restauré en 2010 et a composé presque 16 milliards de dollars. Et bien que cela soit plus bas sur 29 % des paramètres analogues en 2008, la tendance à la restitution complète est évidente.
Par ailleurs, la Bretagne reste un des plus grands investisseurs à l'économie Russe – en 2010 on a investi de l'ordre de 40,8 milliards de dollars dans l'économie de notre pays.