
Les perspectives du régime de visa entre la Russie et les États–Unis
Le consul général des États–Unis en Russie Richard Beer a accordé une interview à l'agence « Interfax » sur la situation dans la sphère du tourisme et de la migration entre la Russie et les Etats–Unis.
En racontant des consultations russes-américaines passant récemment sur les questions consulaires, Beer a marqué qu’on soulevait la question sur la prolongation de la durée des visas. Au maximum le visa peut se délivrer sur une telle période, sur laquelle l'autre pays accorde ses visas. Donc, la prolongation de la durée des visas est une question de l'accord. En particulier, Beer a marqué que les Américains ont besoin de l'invitation pour venir en Russie, et la durée du visa correspond au délai indiqué dans l'invitation.
On aussi abordait la question sur la réduction des taxes consulaires pour le visa. Comme Richard Beer a marqué : « Nous tâchons de garder le montant de la taxe consulaire tellement bas, autant cela semble possible. Nous ne pouvons pas changer le montant de la taxe consulaire, puisqu'il est unique pour tous les pays du monde ». La seule exception est quand la personne reçoit le visa pour deux ans. Alors il doit en supplément payer encore cent dollars. Mais, comme le consul a souligné, cette question peut être aussi reconsidérée au cours des négociations et des concessions mutuelles.
Richard Beer a raconté que les Américains sont intéressés aux voyages touristiques et d'affaires en Russie. Ainsi, en 2009 environ 180 mille personnes ont visité le pays. Et ce chiffre augmente grâce à une série de programmes, en particulier, à l'apparition des croisières à Saint-Pétersbourg. En effet, ainsi les Américains ont reçu la possibilité de visiter la Russie sans procédure longue et complexe de la délivrance du visa.
En outre d'après les données de FMS environ 90 mille Américains vivent sur le territoire de la Russie et plusieurs parmi eux ont la double nationalité.
Et il est tout à fait possible que ce nombre va grandir avec le dépôt des amendements à la loi sur les migrants de travail. En effet, maintenant arriver au travail en Russie sera plus facile et plus avantageux. « Je ne sais pas tous les détails de cette décision, – a marqué Beer, – mais nous l'examinons dans tous les cas à titre de l’acte positif du côté du gouvernement russe. Nous sommes persuadés que cela contribuera au recours des investissements étrangers en Russie, y compris des Etats-Unis ».
Richard Beer a marqué séparément les problèmes avec le système existant en Russie de l'enregistrement et de la réception des visas de travail. En effet, ils embarrassent considérablement la gestion du business dans le pays. Comme le consul a marqué : « Si les procédures énumérées par vous sont plus faciles pour les travailleurs étrangers, les investissements étrangers augmenteront en Russie ».